Dans la presse, nous apprenons avec tristesse la mort d’un nourisson suite à la prise de vitamine D. Ce n’est certes pas très clair si c’est la méthode d’administration ou la vitamine qui est incriminée dans l’histoire.
Petite question: Et si finalement, pour les chevaux c’était la même chose?
Je vois énormément de personnes qui supplémentent leur chevaux en zinc, vitamines, magnésium, …. Les selleries regorgent de compléments vitaminés prêts à l’emploi et aux prix souvent prohibitifs.
Seulement, savons-nous réellement ce que l’on fait ? Connaissons-nous réellement le pourcentage ou la carence en tel ou tel nutriment?
Et si finalement, nous ne faisions pas plus de mal que de bien?
De nombreux compléments que nous achetons dans les pharmacies pour nous, petit bipède, sont bourrés d’additifs artificiels, de colorants chimiques, des substances synthétiques et autres.
En voulant bien faire, nous infligeons probablement des dégâts supplémentaires à notre corps. Alors nous pouvons être en droit de nous questionner sur les produits pour les chevaux. Prenons-nous réellement le temps de lire toutes les étiquettes de ces compléments chimiques, est-ce que tout y est réellement inscrit?
Les vitamines et minéraux dont nous avons besoin et dont nos chevaux ont besoin se trouvent dans la nourriture. Commencer par repenser leur nourriture, la diversité de ce que nous leur donnons et la qualité de cette dernière serait à mon avis la première démarche pour un cheval en bonne santé.
Ensuite, au besoin , les plantes sont la pour nous aider. La nature est bien faite et les chevaux le savent. J’entends régulièrement des personnes me dire que leur cheval à manger tout les chardons de la prairie, raffole des orties, mange des écorces, …Votre cheval sait ce dont il a besoin ( attention toutefois à ne pas le mettre en contact avec des plantes nocives type seneçon, …).
Si vous voulez booster son système immunitaire, lui faire une cure de detox après une prise de médicaments, le « retaper » suite à une perte importante de poids, pensez d’abord aux plantes qui offrent une approche réellement naturelle et peu d’effets secondaires lorsque les dosages sont correctement suivi. Et la encore, il y a souvent du boulot …
J’espère que ce petit article vous aura donner l’envie de lire plus attentivement les étiquettes ainsi que le goût pour le naturel.
L'équipe Horse Remedy
L’ensemble des conseils fournis dans l’application constituent des informations indicatives, ils ne se substituent en aucun cas aux conseils d’un vétérinaire, d’un pharmacien ou d’un autre professionnel de santé. L’ensemble des informations rassemblées dans l’application va aider au soin de votre cheval et s’adjoint, mais ne se substitue pas à une prise en charge par un vétérinaire ou à un traitement médical traditionnel. Si votre cheval est gravement atteint, consultez votre vétérinaire sans attendre. Emmenez votre animal chez votre vétérinaire si un traitement n’améliore pas l’état de votre cheval endéans un délai raisonnable (1 à 2 semaines). En cas de doute, consultez toujours un spécialiste. Référez-vous attentivement aux contre-indications, posologie et précautions d'emploi présentes dans la notice du vendeur. En cas de doute, renseignez-vous auprès d’un professionnel de la santé.